« Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) porte, au fil de ses avis, une vision globale de la santé. (…)
Le CESE milite parallèlement pour une école ouverte et inclusive qui se donne pour objectif de former les élèves à devenir citoyen.ne.s. (…)
Ecole de la réussite pour tou.te.s, perception globale de la santé : la santé à l’école est au croisement de ces deux priorités. (…)
Cet avis n’a pas pour objectif de s’ajouter aux textes existants : il ne présente pas, sur les différentes dimensions de la santé des élèves, des recommandations nouvelles. Pour le CESE, la réponse à l’urgence passe par l’implication de tou.te.s, la coordination des instances et une meilleure collaboration entre tou.te.s les acteur.rice.s. L’avis indique les voies à suivre pour valoriser le travail de ceux.elles qui mettent cette coordination en œuvre dans les territoires. Il formule des propositions pour évaluer plus régulièrement les progrès réalisés dans cette direction. (…) »
Au sommaire
I – L’État des lieux : un déséquilibre préoccupant entre les principes affirmés et la réalité
- A – Santé et école : deux priorités posées dans les textes
- B – Un fort contraste entre les objectifs affichés et la situation observée
- C- Une urgence renouvelée
II – Les préconisations du CESE [[Conseil économique social et environnemental]]
- A – Renforcer l’implication des parties prenantes dans les actions de prévention
- B – Garantir une réponse adaptée et rapide aux besoins des élèves
- C – Valoriser, évaluer et contrôler l’action de l’école sur la santé
Conclusion