Campagne de sensibilisation sur la santé sexuelle. Associations réunionnaises et CeGIDD, membres du COREVIH OI. Du 04 novembre au 14 décembre 2020

couv_fb_story_828x360_tutosexo_tuto_sexo_sexe_002_.jpgLes associations ARPS[[Association Réunionnaise de Prévention des Risques liés à la Sexualité]], ASETIS[[Association d’Éducation Thérapeutique et d’Intervention Sociale]], PF974[[Planning Familial de La Réunion]], RIVE[[Réunion Immunodéprimés Vivre et Ecouter]] et les CeGIDD Nord-Est[[Centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic]], CEPS[[Centre d’Éducation et de Prévention pour la Santé]] membres du COREVIH OI se mobilisent et lancent, du 04 novembre au 14 décembre 2020 une campagne intitulée « Les tuto sexos » qui a pour but de promouvoir quelques outils de prévention en santé sexuelle.

1 tuto par semaine, illustré par des “brosses à dents coquines” et leurs conseils pratiques et ludiques.

Ces tutos seront relayés sur les liens ci-dessous (sites et pages facebook) : Suivez l’actualité et n’hésitez pas à relayer ces tutos dans votre réseau !

Vague

Note de la PEIDD : lien entre santé sexuelle et addictions

« La prise de produits dans certains contextes peut entraîner une modification du comportement préventif. S’agissant du public jeune, les données collectées mettent en évidence que la consommation d’alcool, de cannabis et autres produits peut engendrer des comportements à risques (rapports non protégés, MST, grossesses non désirées…). Dans d’autres contextes, les prises de risque sexuels et de produits peuvent être corrélées. Le Chemsex, dont le Slam, pratiques qui ont cours majoritairement au sein de la communauté gay, représente aujourd’hui un véritable enjeu de santé publique, dont les professionnels doivent pouvoir s’emparer. L’accessibilité des nouvelles drogues de synthèse, l’hyperconnexion et la culture de la performance, ont concouru au développement de ces comportements parfois extrêmes, qui peuvent avoir des conséquences sanitaires et sociales dramatiques sur les populations qui les pratiquent (transmission VIH/VHC, addictions, désocialisation, troubles psychiatriques, suicide, overdose…). Il s’agit de populations majoritairement insérées, qu’il faut pouvoir repérer et accompagner, pour une meilleure prise en compte de leurs problématiques. »

Source : fiche formation “Sexualité et consommations : des réponses adaptées” de la Fédération Addiction

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