Au sommaire
Synthèse
1. Rappel et bilan du suivi des recommandations du premier état des lieux des connaissances sur le suicide
2. Les associations, des acteurs historiques de la prévention
3. Les conduites suicidaires sous l’angle de la recherche : la nécessité d’étudier les interactions entre facteurs de risque
4. Du national au local : la nécessité de mieux rendre compte des spécificités infranationales des données sur le suicide et les tentatives de suicide
5. Recommandations
Dossiers
Données et actions des associations de prévention du suicide en France
Partie I
Une diversité du tissu associatif en France au sein de l’UNPS
Partie II
Les dispositifs de prévention et d’aide à distance en santé (PADS)
Partie III
Autres exemples d’actions innovantes développées par les partenaires associatifs
Partie IV
Synthèse
Facteurs de risque de suicide et de vulnérabilité au suicide
Partie I
Revue de littérature sur les facteurs de risque médicaux et socio-économiques des conduites suicidaires (2003-2013)
Partie II
Les mécanismes neurobiologiques des conduites suicidaires

Bilan des plans d’actions
1. Le Programme national de prévention du suicide (2011-2014)
2. Le Plan national d’actions contre le suicide 2011-2014 de la Mutualité sociale agricole
3. La politique de prévention du suicide des personnes détenues
Données locales
Introduction
Panorama des travaux régionaux et infrarégionaux sur le suicide et les tentatives de suicide des Observatoires régionaux de santé
Présentation des sources de données et des indicateurs
Fiches (1 à 7)
Annexes (1 à 3)
Contributeurs
Ce rapport aborde régulièrement les addictions comme causes de souffrance évoquées lors des appels aux dispositifs d’aide à distance abordant le suicide (tels que SOS Amitié, SOS Suicide Phénix, PHARE Enfants-Parents…).
Un parallèle est fait entre abus d’alcool et comportement suicidaire (page 123), notamment dans un contexte d’alcoolisation massive chez les jeunes.
Des études présentent “un ratio standardisé de mortalité démontrant 10 fois plus de risque de mourir par suicide pour des individus ayant des troubles liés à la consommation d’alcool par rapport à la population générale. Ce risque est 13 fois plus important pour des consommateurs d’opioïdes, 14 fois plus important pour les usagers des drogues par voie intraveineuse, enfin 17 fois plus important pour des individus ayant un usage de drogues mixtes.”