En conclusion des ces recommandations, le groupe d’experts précise :
« La prescription de la PrEP doit :
• s’intégrer à une démarche préventive combinée vis-à-vis du VIH mais aussi vis-à-vis des virus des hépatites virales et des autres IST ;
• être accompagnée par un dispositif d’aide à l’observance et une surveillance clinique et biologique avant et pendant la période d’utilisation (comprenant en particulier une surveillance régulière de la tolérance de la PrEP et un dépistage du VIH et des autres IST).
Enfin, le groupe d’experts recommande que la mise en place du dispositif de prescription de la PrEP soit accompagnée d’une information précise et adaptée aux différents publics (professionnels de santé, structures sanitaires, associations de patients, grand public) : celle-ci devra en particulier délimiter clairement les indications et les non-indications de cette nouvelle modalité de prévention. «