« Le présent rapport résume les progrès accomplis quant aux objectifs et engagements établis par la Déclaration politique des Nations Unies de 2011.
Dans cette Déclaration, les pays se sont engagés, entre autres, à réaliser des améliorations spécifiques en matière de : santé (p. ex., réduction de 50 % de la prévalence et de la transmission du VIH par voie sexuelle ou par la consommation de drogues, élimination des nouvelles infections à VIH chez les enfants). »
D’après ce rapport, il semble difficile d’atteindre l’objectif de réduire de moitié le taux de transmission du VIH parmi les consommateurs de drogues injectables d’ici 2015.
En effet, « d’après de nouvelles données factuelles, la situation n’a pratiquement pas évolué chez cette population.
L’accès des consommateurs de drogues injectables aux services de prévention du VIH reste limité. De plus, l’efficacité de la riposte au sida chez les consommateurs de drogues injectables est entravée par les cadres de politiques punitives et les pratiques en matière d’application de la loi, qui dissuadent les personnes de solliciter les services sociaux et de santé dont elles ont besoin. »